28 novembre 2005
George Bush va gracier deux dindes qui partiront pour Disneyland
ANAHEIM, Californie (AP) - Conformément à une tradition de Thanksgiving, deux dindes seront graciées par le président américain George W. Bush mardi sur la pelouse de la Maison Blanche avant de partir pour... Disneyland, dans le sud de la Californie.
Après la cérémonie, la "dinde nationale", un oiseau de 15,7 kilos, et son compagnon, seront escortés par la police jusqu'à un aéroport de la région de Washington et voyageront en première classe dans un avion.
A Disneyland, les volatiles seront les invités d'honneur d'une parade organisée jeudi pour Thanksgiving, selon le site Internet de la Maison Blanche. Les deux dindes couleront ensuite des jours heureux dans un ranch appartenant au célèbre parc d'attractions.
Habituellement, l'animal désigné "dinde nationale" et son acolyte passent le reste de leur vie dans une ferme de Virginie. AP
Y sont fous ces américains
Tout mais pas l'indifférence
J'accepterai la douleur
D'accord aussi pour la peur
Je connais les conséquences
Et tant pis pour les pleurs
J'accepte quoiqu'il m'en coûte
Tout le pire du meilleur
Je prends les larmes et les doutes
Et risque tous les malheurs
Tout mais pas l'indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Et j'apprendrai les souffrances
Et j'apprendrai les brûlures
Pour le miel d'une présence
Le souffle d'un murmure
J'apprendrai le froid des phrases
J'apprendrai le chaud des mots
Je jure de n'être plus sage
Je promets d'être sot
Tout mais pas l'indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Je donnerai dix années pour un regard
Des châteaux, des palais pour un quai de gare
Un morceau d'aventure contre tous les conforts
Des tas de certitudes pour désirer encore
Echangerais années mortes pour un peu de vie
Chercherais clé de porte pour toute folie
Je prends tous les tickets pour tous les voyages
Aller n'importe où mais changer de paysage
Effacer ces heures absentes
Et tout repeindre en couleur
Toutes ces âmes qui mentent
Et qui sourient comme on pleure.
JJ Goldman
27 novembre 2005
Titan: un monde glacé au sol spongieux baigné de pluies d'hydrocarbures
PARIS (AFP) - Les premières analyses des données transmises par la sonde Huygens lors de sa descente sur Titan, il y a presque un an, laissent entrevoir un monde baigné dans un brouillard orange d'hydrocarbures, au sol spongieux de particules organiques tombées en pluie sur des galets de glace.
Lors de sa descente de 2 heures et 28 minutes à travers l'atmosphère du plus gros satellite de Saturne, le 14 janvier 2005, la sonde européenne avait enregistré une multitude de données grâce à six instruments embarqués, qu'elle a continué à transmettre pendant 72 minutes après l'atterrissage.
De quoi alimenter des années de recherche, dont les premiers résultats font l'objet de sept articles dans la revue britannique Nature à paraître jeudi.
Ces analyses révèlent une chimie basée sur la transformation du méthane en hydrocarbures complexes dans la stratosphère. Le méthane est le gaz le plus présent dans l'atmosphère de Titan après l'azote.
Bombardé de particules dans l'environnement de Saturne, exposé aux rayons ultraviolets du Soleil, le méthane est converti en hydrocarbures et en composés d'azote et de carbone, qui se condensent entre 300 et 200 km d'altitude pour former un brouillard orange de matériaux organiques (Guy Israël, CNRS, France et Martin Tomasko, Université de Tucson, Etats-Unis).
Ces aérosols tombent finalement en pluie sur la surface, où ils s'accumulent en une couche spongieuse probablement composée de ces particules, de galets de glace d'eau et de méthane liquide, "de la consistance de sable mouillé" (John Zarnecki, Univ. de Milton Keynes, Royaume Uni).
Ce processus signifie que du méthane s'échappe constamment de l'atmosphère de Titan et doit être remplacé, ce qui implique l'existence d'un réservoir de méthane ou de carbone sous une forme primitive, probablement sous la surface du satellite (Tomasko et Hasso Niemann, Nasa, Etats-Unis).
"Un processus similaire pourrait avoir produit une grande poche de méthane sur la Terre", dont Titan serait un stade primitif, gelé en l'état, de l'évolution, a estimé mercredi un membre d'une des équipes de recherche, François Raulin, lors d'une conférence de presse à l'Agence spatiale européenne (Esa) à Paris. Le méthane (CH4) est la principale composante du gaz naturel.
Titan présente un intérêt tout particulier pour la compréhension de la Terre parce que cette lune de Saturne est le seul autre objet du système solaire à être doté d'une atmosphère épaisse majoritairement composée d'azote.
Du point de vue physique, les mesures ont confirmé une pression égale à une fois et demie celle de la Terre et une température de -180°C qui empêche la formation de toute vapeur d'eau, et donc d'oxygène, à partir de la glace d'eau (Francesca Ferri, Univ. de Padoue, Italie).
Quant aux vents, ils soufflent dans le même sens que la rotation du satellite et sont plus rapides, atteignant 120 mètres par seconde (430 km/h) à 120 km d'altitude. Curieusement, la sonde n'en a presque pas décelé en surface (1 m/s) (Michael Bird, Univ. de Bonn, Allemagne).
De quoi s'interroger sur des paysages sculptés par l'érosion sans doute due au méthane liquide qui a creusé des vallées profondes de 100 m et larges de 200, mais aussi par l'action du vent...
La mission Cassini-Huygens, des noms de la sonde européenne et de l'orbiteur américain qui l'a larguée près de Saturne après sept années de voyage, a suivi les sondes jumelles Voyager, de la Nasa, qui n'avaient pas pu voir en 1980-81 au travers du brouillard titanesque.
26 novembre 2005
La citation du jour
Bertold Brecht
Extrait du journal intime du chat
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps...
25 novembre 2005
La quête
La phrase qui tue.....
Au château de la Star Academy...
Voix-off : "Les candidats sont priés de ne pas parler de marques !"
Alexia : "Ben... c'est qui Marc ?"
On n'est pas sortis de l'auberge !
Un iceberg chantant découvert en Antarctique
BERLIN (Reuters) - Une équipe de géologues de l'Institut allemand Alfred Wegener a découvert un iceberg qui chante en Antarctique.
Les scientifiques qui ont enregistré l'activité sismique depuis la banquise d'Ekström, sur la côte atlantique de l'Antarctique entre juillet et novembre 2002, ont capté des sons d'une clarté sans précédent, provenant d'un iceberg de 50 km sur 20, entré en collision avec un haut fond, expliquent-t-il dans la revue Science, qui publie vendredi les résultats de leurs recherches.
Le bloc de glace émet des infrasons inaudibles pour les oreilles humaines, d'une fréquence de l'ordre de 0,5 Hz, qui, diffusés à une vitesse supérieure, évoquent le bruit d'un essaim d'abeilles ou celui d'un orchestre juste avant un concert.
"Lorsqu'il a été complètement coincé sur le fond, il était comme un caillou dans une rivière. L'eau circulait à haute pression dans ses crevasses et ses tunnels et l'iceberg s'est mis à chanter", raconte Vera Schlindwein. "La tonalité variait même comme dans une vraie chanson", s'émerveille la chercheuse.
Lettre au Père Noël 1
"Cher Père Noël, mes parents sont très pauvres et je sais qu'ils ne pourront pas me faire de cadeau cette année ; mais je ne demande pas grand chose, je veux juste pouvoir aller jouer avec mes copains dans la neige. Pour ça, il me faudrait un bonnet, une écharpe et des gants. Je sais que tu es très gentil et je te remercie d'avance cher Papa Noël." Il met sa lettre dans une enveloppe sur laquelle il écrit "Pour le Père Noël", et la poste. La postière, en triant le courrier, tombe sur cette enveloppe qui l'intrigue et elle lit la lettre. Toute émue, elle en parle à ses collègues et décide de faire une quête. Mais à la Poste non plus ils ne sont pas très riches. Ils réunissent à peine 15 euros, tout juste de quoi acheter un bonnet et une écharpe qu'ils enveloppent dans un joli paquet cadeau pour l'envoyer au petit garçon, "de la part du Père Noël". Quelques semaines plus tard, la postière tombe à nouveau sur une enveloppe du même type : "Cher Père Noël, je te remercie beaucoup pour le bonnet et l'écharpe. Malheureusement, sans gants je n'ai pas pu jouer avec mes copains dans la neige. Mais je ne t'en veux pas cher Papa Noël, je sais bien que ce n'est pas de ta faute. C'est sûrement encore ces enculés de la Poste qui les ont piqués."
20 novembre 2005
19 novembre 2005
Escapades vocales, Première !
Mais quelle soirée, on s'est bien amusé, on a surtout bien ri,
et c'est ça qui compte !
Imotep et Force du Bichoooooon !!! ;-))
18 novembre 2005
Le saviez-vous ?
Le 8 mai 1886, John Styth Pemberton, pharmacien d'Atlanta (Géorgie), invente une nouvelle boisson gazeuse. En voulant créer un sirop désaltérant, il met au point un mélange d'extrait de noix de kola, de sucre, de caféine, de feuilles de coca et d'extraits végétaux. La boisson est mise en vente à la "soda-fountain" de la Jacob's Pharmacy. Un serveur a l'idée de diluer le sirop avec de l'eau gazeuse : le Coca-Cola est né.
http://www.linternaute.com
16 novembre 2005
Les bonnes manières
-Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d'aller aux toilettes que dirais-tu ?
- Attend-moi une seconde, je vais pisser un coup.
-Ce serait très grossier de ta part. Jean que dirais-tu ?
- Je m'excuse mais il faut que j'aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
-C'est déjà mieux, mais c'est désagréable de mentionner les toilettes pendant les repas. Et toi Toto, quelles seraient tes bonnes manières ?
- Je dirais : " Ma chère, je vous demande pardon de m'absenter un moment, je m'en vais de ce pas tendre la main à un ami intime, que j'espère pouvoir vous présenter après le dîner "....
15 novembre 2005
Gardez votre fourchette
C'est l'histoire d'une dame qui souffrait d'un cancer. Elle était en phase terminale et savait qu'il ne lui restait plus que trois mois à vivre. Voulant mettre de l'ordre dans ses affaires, elle demanda à son pasteur de venir chez elle pour discuter certaines de ses dernières volontés. Elle lui dit quels cantiques on devait chanter, quels passages de l'Écriture devaient être lus à ses funérailles et dans quelle toilette elle voulait être enterrée. La dame demandait également qu'on l'enterre avec sa Bible préférée. Tout était en ordre et le prêtre se préparait à partir lorsque la dame se rappela soudain une chose très importante. " Il y a encore quelque chose ", s'exclama-t-elle. " C'est très sérieux : je veux qu'on m'enterre avec une fourchette à la main droite. " Le pasteur, interloqué, la regardait sans savoir très bien quoi lui répondre. " Cela vous surprend, n'est-ce pas ", dit la dame. " Eh bien, pour être honnête, j'avoue que cette dernière demande m'étonne un peu ", répondit-il. La dame s'expliqua. " J'ai participé bien des fois, dans notre paroisse, à des fêtes et à des banquets, et je me souviens qu'après avoir fini le plat principal il y avait toujours quelqu'un qui lançait : 'Et gardez votre fourchette, le meilleur est encore à venir', comme un gâteau au chocolat velouté ou une succulente tarte aux pommes. En tout cas quelque chose de merveilleux et de substantiel! Alors je veux simplement que lorsque les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette à la main, ils s'interrogent et vous posent la question : " Mais qu'est-ce que c'est que cette fourchette? " Et je veux que vous leur disiez alors : " Gardez votre fourchette... le meilleur est encore à venir. " Les larmes aux yeux, le prêtre embrassa la dame et prit congé. Il savait qu'il ne la reverrait plus avant sa mort. Mais il savait aussi que cette femme avait compris mieux que lui ce qu'était le Ciel. Elle SAVAIT que quelque chose de meilleur l'attendait. Aux funérailles, les gens qui s'approchaient de son cercueil la voyaient qui reposait dans sa plus belle robe avec sa Bible préférée et une fourchette à la main droite. Et le pasteur entendit maintes fois la question : " Mais qu'est-ce que c'est que cette fourchette? " Et toujours il racontait en souriant la conversation qu'il avait eue avec cette dame peu de temps avant sa mort. Il leur dit aussi que depuis ce jour, il ne pouvait s'empêcher de penser à cette fourchette et que ce sera probablement leur cas à eux aussi. Il avait raison. Alors la prochaine fois que vous déposerez votre fourchette, rappelez-vous, oh très gentiment, que le meilleur est encore à venir.
Auteur inconnu
11 novembre 2005
06 novembre 2005
La blonde et l'avocat
"Je te pose une question et si tu ne sais pas répondre, tu me donnes 5 euros, ensuite tu me poses une question et si je ne sais pas répondre, je te donnes 500 euros".
La blonde finit par céder et écoute la première question.
L'avocat : "Quelle est la distance entre la terre et la lune ?". La blonde, sans hésiter, prend son portefeuille, en retire 5 euros, qu'elle donne à l'avocat. Celui-ci, ravi, empoche les 5 euros et attend sa question....
La blonde : "Qu'est ce qui a 3 pattes en montant la montagne et 4 en la descendant" ? Sur ce, elle se tourne et se met à dormir. L'avocat réfléchit, consulte son encyclopédie portable, téléphone à un ami, demande discrètement autour de lui...Aucune réponse... rien...le néant. Après plusieurs heures d'intense réflexion, il réveille la blonde et lui file les 500 euros.
Celle-ci, encore à moitié endormie, empoche les 500 euros et se tourne de nouveau pour essayer de dormir.
L'avocat, un peu frustré quand même : "Et alors, la réponse, c'est quoi?"
Et la blonde lui tend un billet de 5 euros...
04 novembre 2005
La voiture
Un homme complètement ivre sort d'un bar, il lui faut au moins cinq minutes pour avancer de deux mètres... Il arrive enfin sur le parking, s'avance vers la première voiture et tâte le toit... - "Non", fait-il, puis il va vers le deuxième véhicule. Il tâte de nouveau le toit de la voiture et refait "non"... Après plusieurs dizaines de véhicules, un passant qui a assisté au manège s'approche du fêtard et lui demande : - Mais que faites-vous ?? Alors l'homme répond : - *hips*...heu... je cherche ma voiture... - Je ne comprend pas... Vous touchez le toit des voitures, et puis vous dites "non" et vous passez à la voiture suivante !!? - *hic*... mais c'est normal !... heu... *hic*... sur la mienne d'auto *hips*,...il y a un gyrophare...
03 novembre 2005
02 novembre 2005
01 novembre 2005
Mois de novembre
Ce mois a reçu son nom de la place qu'il occupait dans l'année de Romulus, il était le neuvième ; il n'est plus que le onzième, depuis l'époque de la réforme du calendrier romain par Numa. Les Egyptiens, au mois d'Athyr, qui répond au mois de novembre, célébraient pendant quatre jours, après le 17 de ce mois, une fête lugubre en l'honneur du deuil de la déesse Isis, affligée de la perte d'Osiris son frère, que son mari Typhon avait tué. Cette fête s'appelait la recherche d'Osiris.
Les Romains célébraient, le 5 du mois, les Neptunales en l'honneur de Neptune. En ce jour, on faisait aussi le festin de Jupiter, et on appelait cette fête Lectisternium, parce qu'on dressait des lits dans les temple des Dieux pour y faire des festins.
Le 15 novembre, on représentait les Jeux plébéïens dans le Cirque, pendant trois jours. Depuis le 21 jusqu'au 24, on célébrait les Brumales, ou les fêtes des jours d'hiver. Le 27 on faisait des sacrifices mortuaires aux mânes des Gaulois et des Grecs que l'on avait enterrés vifs, à Rome, dans le Marché aux Boeufs.