Dans les principales villes mésopotamiennes, on peut observer des édifices colossaux qui ressemblent à de hautes tours. Certaines de ces constructions se dressent encore fièrement sur une hauteur de plusieurs dizaines de mètres. D'autres, ravagées par le temps, ne sont plus que de monstrueuses masses informes, d'autres encore ont des aspects fantasmagoriques qui inspirent crainte et mystère.
Ces édifices abandonnés depuis plus de deux milles ans sont appelés : "ziggourat". Les ziggourats sont une caractéristique de l'architecture mésopotamienne. On ne sait pas vraiment pourquoi ces monuments ont été bâtis. Aucune source mésopotamienne ne donne la fonction des ziggourats. De plus aucune ziggourat n'a été retrouvée entière, il manque toujours le sommet. Contrairement aux pyramides d'Égypte, les ziggourats gardent jalousement leur secret.
En général, une ziggourat était érigée dans chaque grande ville de Mésopotamie. Dédiée à la divinité protectrice de la ville et située à côté du temple de celle-ci, la ziggourat était certainement un édifice religieux.
Les Mésopotamiens n'ont ni écrit, ni peint ou dessiné l'un des rituels qui pouvait si dérouler. Est-ce intentionnel ? Voulaient-ils garder un secret ? Des documents qui répondent à ces questions existent peut-être. Si tel est le cas, les archéologues les découvriront par hasard un jour. Le temps nous le dira...
Les spécialistes ont apporté différentes réponses à cette énigme.
Source : www.ezida.com
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