22 juin 2005

Sauvée par les lions

Trois lions arrachent une petite Ethiopienne à ses ravisseurs

ADDIS ABEBA, Ethiopie (AP) - Trois lions ont sauvé une petite fille de 12 ans, enlevée par des hommes qui voulaient la marier de force dans le sud-ouest de l'Ethiopie. D'après la police, les grands fauves ont fait fuir ses ravisseurs et l'ont veillée pendant une demi-journée jusqu'à l'arrivée de la police et sa famille.

Le sauvetage a eu lieu le 9 juin dans la zone Kefa et il a fallu plusieurs jours avant que l'histoire ne sorte de cette province isolée.

Cela faisait sept jours que la fillette était détenue par ses ravisseurs, qui la battaient régulièrement, quand les lions sont intervenus pour les chasser, a rapporté mardi le sergent Wondimu Wedajo, interrogé par téléphone depuis la capitale provinciale de Bita Genet, à environ 560km à l'ouest de la capitale Addis Abeba.

"Ils ont monté la garde jusqu'à ce que nous la retrouvions et ils l'ont l'ensuite abandonnée comme un cadeau pour retourner dans la forêt", a raconté le policier, qui ignorait s'il s'agissait de lions mâles ou femelles.

"Si les lions n'étaient pas venus à son secours, alors cela aurait pu être bien pire. Souvent ces jeunes filles sont violées et gravement battues pour les forcer à accepter le mariage", a-t-il ajouté. "Tout le monde pense que c'est une sorte de miracle, car normalement les lions attaquent".

Stuart Williams, un expert de la faune sauvage qui travaille avec le ministère du développement durable, jugeait probable que les pleurs de la fillette l'ait sauvée. "Une petite fille qui gémit peut être confondue avec le miaulement d'un lionceau, ce qui pourrait ensuite expliquer que les lions ne l'aient pas dévorée", pense-t-il. "Sinon c'est probablement ce qu'ils auraient fait".

La fillette "choquée et terrifiée" a dû être soignée pour les coupures infligées ses ravisseurs, selon Wondimu Wedajo. Il a ajouté que la police avait arrêté quatre des hommes, mais recherchait encore trois autres suspects.

Les Nations unies estiment que plus de 70% des mariages en Ethiopie découlent d'enlèvement, encore pratiqués dans les régions rurales où vit la majorité des 71 millions d'habitants du pays.

Les lions d'Ethiopie, célèbres pour leurs grandes crinières noires, sont le symbole national du pays et ornent la devise locale. Ils sont la proie des chasseurs, qui les traquent pour leur fourrure qui peut atteindre jusqu'à un millier de dollars, malgré la récente répression contre le commerce illégal d'animaux dans le pays. D'après Stuart Williams, il reste tout au plus un millier de lions éthipiens en liberté dans le pays. AP

20 juin 2005

Croire en ses rêves

On me l'a envoyé par mail hier... enjoy !

Il était une fois une course ... de grenouilles.
L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.

Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.

Lorsque la course commença les gens ne croyaient probablement pas possible que les grenouilles puissent atteindre la cime, et partout en entendait : "Quelle peine !!! Elles n’y arriveront jamais!"

Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper avec fougue et enthousiasme et les gens continuaient :
"Quelle peine !!! Elles n’y arriveront jamais!..."

Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.

A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui,
seule et avec un énorme effort, atteignait le haut de la cime. Les autres voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.

Et elle découvrit qu’elle était sourde !

N’écoutez pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives... car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur. Rappelez-vous toujours du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez.

Auteur inconnu

13 juin 2005

Les yeux de l'âme

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits.

Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.

L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager ?", commenta-t-elle.

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.

La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.

Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

Auteur inconnu

12 juin 2005

Histoire de Carcassonne

Le plateau de Carcassonne fut exploité très tôt. On situe vers le VIIIéme siècle avant notre ère un camp gaulois, l'oppidum de Carsac, à seulement 2km de la cité actuelle.

Ce village de l'âge du fer possédait comme protection un fossé et des entrées aménagées en chicane. Au siècle suivant, l'accroissement de la population oblige les habitants à réaménager leur cité. Ils construisent un deuxième fossé et une palissade est élevée sur des levée en terre. Au VIéme siècle, l'aglomération est abandonnée au profit du site de la cité actuel, une bute dominant la plaine de l'Aude.

Pendant les siècles qui suivirent,cette petite ville prospéra. A la fin du IIéme siècle avant J.C., la cité, appelés "Carcaso" est intégré à la colonie Narbonnaise romaine. Elle devint, à la fin du Ier siécle avant J.C., le chef-lieu de la colonie. Les cinq siècles qui suivirent, permirent aux romain de protéger la cité avec une forte muraille et d'en faire un pôle économique important.

Entre 410 et 418 de notre ère, les Wisigoths, venue d'Europe orientale, battent les romains et s'installent en Gaule du sud et en Espagne. Carcaso, que l'on appelle désormais Carcasona, est contrôlé par ces barbares. En 507, Clovis Ier, roi des Francs oblige Alaric II à se retirer plus au sud. Les Wisigoths ne posséde plus en Gaule que la septimanie, dont Carcasona devient une ville frontière. Au cour du VIéme siècle, Carcasona devint un évêché et une cathédrale, disparue aujourd'hui, domina la ville. Pendant la conquête arabe, la ville tombe sous le joug de l'Emirat de Cordoue, mais est libérée par Pépin le Bref en 759.

Alors que Charlemagne devient Empereur, il répartit ces territoires entres plusieurs grandes familles afin qu'elles fassent régner l'autorité de l'empereur sur leurs nouveaux domaines. Les Oliba au Xéme, puis les Comminges-Couzerans au XIéme siècle dirigent le comté de Carcassonne. Grâce à des alliances et des mariages, le comté est agrandit. En 1074, sous la domination de Bernard Aton, fils d'Ermengarde et de Raymond Bernard Trencavel, le domaine regroupe les vicomtés de Carcassonne, Bézier, Limoux, Albi, Agde, et Nîmes. C'est pendant sa souzeraineté que le château familliale est délaissé au profit du Palatium.

La croisade contre les albigeois, lancé en 1208 par le pape Innocent III sonne le glas du vicomté de Carcassonne. En 1209, Simont de Monfort et les seigneurs du nord soumettent le comte de Toulouse, laissant seul Raymond Roger Trencavel retranché dans sa ville. Après 14 jours de siège, Carcassonne capitule. A la mort de Simont de Monfort, Amaury, son fils, hérite du vicomté de Carcassonne, mais le cède au roi de France en 1224. Raymond VII, comte de Toulouse, profite de l'occasion pour redonner sa cité à Raymond Trencavel II. Furieux, le roi envoie une armée reprendre son bien. Carcassonne se soumet sans combattre en juillet 1226. Le vicomté est totalement annexé au domaine royal, instaurant à Carcassonne, une sénéchaussée. En 1240, Raymond Trencavel II met le siège à la cité et lance l'assaut le 17 septembre. Les défenseurs de la ville, aidés par des troupes de Louis IX, repoussent les assaillants. Raymond Trencavel II renonce à ces droit et se soumet au roi en 1247.Les faubourgs de la ville, gravement endommagés sont détruit et les habitants replacés sur l'autre rive du fleuve, dans une bastide.

Plan de Carcassonne montrant les tours et les portes principales

Alors que la région est enfin passifiée, le roi de France entreprend de grands travaux afin de renforcer les défenses de la ville. Une second enceinte est construite, flanquée de 16 tours, de barbacanes. Sur l'ancienne enceinte romaine sont aménagées des archères et des meurtrières. En 1245, les tours de la Peyre et de Vade sont achevées, renforçants la protection sud-est de la ville. Le château est réaménagé afin de recevoir une garnison permanente. A la fin du XIIIéme siècle et au début du suivant, les roi Philippe III et Philippe IV rénovent une grande partie des enceintes, font édifier de nouvelles tours, comme la tour du Tréseau et remanient les entrées afin de montrer la puissance royale au comte d'Aragon, son voisin. La bastide, quand à elle est ignoré, à tel point que le Prince noir s'en empare facilement, la pille et la brûle en novembre 1355. Elle est rapidement reconstruite, mais cette fois, est entourée d'une forte muraille flanquée de tours, protégée par un large fossé.

Au cours du XVéme siècle, la ville prospère grâce à son industrie drapière. Peu à peu, la cité militaire est délaissé au profit de la ville économique, et le traité des Pyrénées en 1659 fait perdre sa raison militaire à Carcassonne. En 1803, Napoléon Ier prononce le déclassement de la forteresse.

En 1844, Eugène Violet-le-Duc entrepend sa restauration. La cité est reconnue Patrimoine de l'Humanité en 1997

La légende de Dame Carcas

Une ancienne légende raconte comment la ville pris le nom de Carcassonne.

Alors que la ville était en posséssion des sarrazins et que Charlemagne en faisait le siège, La nourriture des assiégés vint à manquer. Dame Carcas, la femme du seigneur de la ville eut l'idée de jeter par dessus les remparts un cochon bien gras. Les armées de l'empereur, elles aussi affamées, virent dans ce geste la preuve que la ville contenait encore une énorme quantité de nourriture. Charlemagne leva le siège et épargna la ville.

Sitôt l'armée ennemie partie, toutes les cloches de la cathédrale sonnèrent pour prévenir la région de cette grande victoire. La population, en signe de joie, cria "Carcas Sonne".

source : www.castlemaniac.com

11 juin 2005

La grande pyramide de Khéops

Une des 7 Merveilles du Monde

On ne sait pas grand-chose du roi Khéops de la IVème dynastie, si ce n'est qu'il règna sur l'Egypte il y a un peu plus de 4500 ans, qu'il combattit les Barbares venus d'Asie et qu'il interdit les sacrifices alors en usage. Gouvernant son peuple depuis son palais de Memphis, capitale de l'Ancien Empire sur le Delta du Nil. Khéops ordonna également la fermeture de tous les temples et instaura le culte de Râ, le dieu du soleil.
Emanation du dieu suprême, Khéops désirait pour lui-même une sépulture capable de défier le temps. Un tombeau gigantesque, inviolable qui conserverait sa divine dépouille pour l'éternité...Il choisit pour emplacement le site de Gizeh, un coin de désert tout près de Memphis. Puis il fit rassembler une importante équipe -100 000 hommes, dit-on, que l'on changeait tous les trois mois- de porteurs, de manoeuvres, de marins et de tailleurs de pierre afin de procéder à l'édification de sa monumentale ambition.
Selon Hérodote, historien grec, il a fallu d'abord, construire une chaussée allant du Nil à l'emplacement prévu pour l'édification de la pyramide. Cette chaussée formait une rampe permettant de traîner les blocs de pierre qu'on déchargeait des bateaux. Sa construction demanda dix ans. Dix autres années furent également nécessaires pour construire la chambre souterraine et les pièces annexes réservées au corps du roi défunt. Ensuite, on entreprit d'empiler les pierres de la pyramide elle-même.
Les pierres extraites des montagnes d'Arabie furent chargées sur des bateaux qui descendirent le Nil jusqu'à Gizeh.
Le tombeau de Khéops, pyramide à base carrée, avait 246 mètres de côté et 146 mètres de hauteur. L'érosion des siècles a ramené cette hauteur à 137 mètres. On commença d'abord par édifier une succession de degrés; puis, on hissa les pierres jusqu'au sommet. Pour parfaire le tout, le monument fut entièrement recouvert de plaques de calcaire poli. Ce travail demanda 20 ans aux travailleurs acharnés. La construction nécessita 2 300 000 blocs de pierre (certains pesant jusqu'à 15 tonnes). L'ensemble, d'un poids total de 5 480 000 tonnes, devait occuper une surface au sol de plus de 5 hectares.

Source :
tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/ UVLibre/9899/jeu12/welcome.htm

Microsoft...

There are three engineers in a car, an electrical engineer, a chemical engineer, and a Microsoft engineer. Suddenly the car just stops by the side of the road, and the three engineers look at each other wondering what could be wrong.
The electrical engineer suggests stripping down the electronics of the car and trying to trace where a fault might have occurred.
The chemical engineer, not knowing much about cars suggests that maybe the fuel is becoming emulsified and getting blocked somewhere.
Then, the Microsoft engineer, not knowing much about anything, comes up with a suggestion. "Why don't we close all the windows, get out, get back in, open the windows again, and maybe it'll work!?"

10 juin 2005

03 juin 2005