(Affligé par la mollesse générale des élèves de la classe) « Ne restez pas là comme des huîtres accrochées à leur rocher, à fixer le tableau en attendant que la marée monte ! »
« Alors, pour éviter de consteller ma feuille de calculs, je choisis l’autre méthode ! »
(A une élève qui rame à résoudre un exercice) « Même si vous voulez faire Littéraire l’année prochaine, vous aurez des difficultés, mademoiselle ! Car vous aurez de la philosophie. Et en philosophie, il faut savoir raisonner. Donc, mettez-vous à raisonner dès la seconde en cours de maths ! (Après un long silence) Huit heures ! (La classe est interdite) Huit heures de philosophie par semaine en terminale L, mademoiselle !
(L'élève, exaspérée) : Et alors ? Ca ne me fait pas peur ! C’est toujours plus intéressant que les maths, excusez-moi !
(Le prof) : C’est bien. Soit. Mais vous aurez quand même à raisonner ! »
« Je ne suis pas le paillasson de la flemme ! »
« Evidemment, s’il s’agissait d’élever des perroquets, ça serait plus facile ! »
« Après du sang, de la sueur et des larmes, on peut enfin arriver à résoudre tout ça. »
11 janvier 2005
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